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Lorsque vous avez acheté votre maison, vous avez sûrement signé un contrat d’assurance hypothécaire. Cette assurance est obligatoire pour les propriétaires et elle est souvent incluse dans le prêt immobilier. Mais il se peut que vous ne soyez pas satisfait de cette assurance et que vous souhaitiez l’annuler. Pour ce faire, il faut suivre une démarche très stricte. Nous allons voir çà de plus près.
La résiliation de l’assurance hypothécaire
L’assurance hypothécaire est un produit d’assurance qui protège l’emprunteur et le prêteur contre les risques de décès, d’invalidité et de maladie.
La couverture offerte par cette assurance permet à l’emprunteur de bénéficier d’une garantie en cas de survenance d’un sinistre (décès, invalidité ou maladie).
Lorsque vous souscrivez une assurance hypothécaire, vous choisissez la durée du contrat (10 ans minimum), la quotité assurée (le montant que vous êtes prêt à payer pour votre crédit) et le montant des indemnités journalières en cas d’incapacité temporaire totale (ITT).
Il existe différents types d’assurances hypothécaires : l’assurance-vie et l’assurance-invalidité. Dans le premier cas, elle prend fin au moment du décès de l’emprunteur. Dans le second cas, elle prend fin au moment de son invalidité totale et permanente.
Votre banquier peut vous proposer une assurance-vie obligatoire si votre situation financière est saine. Cette assurance est souvent plus avantageuse qu’une assurance-invalidité classique car elle propose un taux moins élevé mais surtout une couverture plus importante en termes de capitaux assurés et/ou en termes de durée. Elle permet aussi au souscripteur de faire appel à des proches ou à des personnes tierces afin qu’ils puissent continuer à rembourser son crédit immobilier pendant sa période d’incapacité temporaire totale (ITT).
Les conditions de résiliation
Il est important de savoir qu’il existe des conditions qui peuvent vous permettre de résilier votre contrat dans les délais impartis.
Les différents cas de résiliation du contrat Le contrat d’assurance-vie prend fin à l’arrivée du terme contractuel, c’est-à-dire à la date fixée par le contrat. Cependant, il faut veiller à ne pas effectuer une demande de résiliation en cours d’année, car cela pourrait entraîner un paiement des primes non perçues sur l’année en cours.
La loi Châtel prévoit plusieurs motifs valables pour résilier le contrat d’assurance : En cas de sinistre ou d’accident : la résiliation s’effectue avec un délai de préavis de 30 jours calendaires; En cas de modification des garanties : la résiliation intervient avec un délai de 15 jours calendaires; En cas d’augmentation tarifaire : la résiliation intervient avec un délai de 20 jours calendaires (un mois) suivant la notification. Nous vous conseillons donc fortement d’être vigilant et attentif au moment où vous souhaitez procéder à une demande de résiliation.
Votre assureur doit également vous informer par écrit et par lettre recommandée avec accusé réception toute augmentation tarifaire applicable au contrat concerné.
Le nouveau tarif doit être appliqué au plus tard trois mois avant le terme contractuel en cours (date anniversaire).
La procédure de résiliation
Lors d’un achat immobilier, il est important de bien connaître les différentes étapes de la procédure. Dans le cadre d’une vente immobilière, les agences immobilières sont souvent sollicitées pour vendre un bien immobilier. Si cela vous intéresse, nous allons vous expliquer comment se déroule une transaction immobilière en France. Pour réaliser une transaction immobilière, il faut passer par plusieurs étapes : La première phase consiste à fixer un prix de vente et à rechercher des acheteurs potentiels pour votre bien. Cette étape est cruciale et doit être effectuée avec soin afin d’optimiser au maximum la transaction. Cette étape de fixation du prix de vente peut prendre plusieurs formes : En estimant le prix du marché local ou en consultant des sites spécialisés qui proposent des estimations gratuites.
La seconde phase consiste à chercher des acheteurs potentiels pour votre bien immobilier (lorsque le prix vous semble justifié).
Il existe différents moyens pour trouver des acheteurs parmi lesquels on peut citer : Les agences immobilières (immobilier classique).
Les sites internet spécialisés (immobilier classique + particuliers).
L’expertise d’un agent immobilier indépendant (particuliers + professionnels).
Les notaires (ventes entre particuliers uniquement) L’expertise d’un notaire indépendant (ventes entre particuliers et professionnels).
Les conséquences de la résiliation
La résiliation du bail peut être causée par différents évènements.
Le locataire peut décider de quitter le logement, il doit en informer son propriétaire. S’il estime que les conditions du bail ne sont pas conformes à la loi, il peut demander la résiliation du contrat. Dans ce cas, l’autre partie dispose d’un mois pour donner sa réponse. Si le locataire décide de rester dans les lieux, une nouvelle négociation peut alors avoir lieu entre les parties pour trouver un accord sur le montant des indemnités de rupture de bail.
Il est important de savoir que le propriétaire ne peut plus exiger aucune contrepartie financière si le locataire refuse la renégociation du contrat.
La durée minimale du bail est généralement fixée à trois ans et la durée maximale à six ans.
Lorsqu’un bail arrive à échéance, même si celui-ci ne comporte pas de clause de tacite reconduction, le propriétaire doit prévenir au minimum six mois avant l’arrivée du terme afin d’obtenir un renouvellement ou une reconduction tacite (loi 89-462).
Le contrat signé par les parties stipule clairement cette information et fixe également une date butoir au-delà de laquelle il faudra notifier au propriétaire son intention de mettre fin au contrat par lettre recommandée avec accusé réception adressée au moins six mois avant l’expiration du premier terme contractuel en cours (Loi 89-462).
Les alternatives à la résiliation
Les Français ont beau être considérés comme les plus gros propriétaires de leur logement, ils sont nombreux à hésiter avant de se lancer dans un investissement immobilier. En effet, quand on est locataire, la question du changement de logement ne se pose pas. Mais pour ceux qui souhaitent acheter un bien immobilier pour y habiter, il faut savoir que la résiliation peut parfois être une solution intéressante.
Lorsque vous pensez à votre projet d’achat immobilier, vous pouvez choisir entre louer ou acheter. Dans certains cas, l’investissement locatif peut même être une bonne alternative à l’acquisition d’un bien immobilier destiné à la location. Pourquoi ? Si vous avez déjà été propriétaire et que vous avez décidé de vendre votre bien pour en acheter un autre moins cher et plus grand, cette solution peut être très intéressante. En effet, en tant que propriétaire bailleur (propriétaire qui loue son logement), vous pouvez revendre votre bien sans perdre le prix d’achat initial grâce au crédit contracté lors de l’acquisition du logement.
Les conseils pour bien choisir son assurance
Il est possible de choisir une assurance en fonction du type d’investissement immobilier ou selon les garanties offertes.
Il existe différents types de contrats d’assurance pour un investissement immobilier. On peut distinguer les assurances liées au financement, qui sont proposées par les banques, ainsi que l’assurance décès-invalidité et incapacité temporaire totale.
Les assurances liées au financement sont des contrats d’assurance qui permettent à l’investisseur de bénéficier d’un crédit immobilier pour financer son acquisition immobilière. Ces assurances sont nommés «Assurances emprunteurs».
Il y a également des contrats qui couvrent le remboursement des mensualités du prêt en cas de problèmes financiers graves pendant la durée du crédit comme le chômage, le divorce ou la maladie grave. En ce qui concerne la garantie décès-invalidité et incapacité temporaire totale (ITT), elle offre une protection aux investisseurs contre le risque « d’accident » en cours de chantier, c’est-à-dire un accident survenu avant la livraison du bien immobilier ou encore un accident survenu après et compromettant le rendement locatif futur du bien acquis par l’intermédiaire du prêt. On trouve également des contrats spécialisés comme l’assurance perte d’emploi ou encore l’assurance « risques locatifs ».
En cas de décès, l’assurance hypothécaire ne couvre pas les dettes contractées par le défunt. L’assurance-vie n’est pas non plus disponible pour payer des dettes. Les héritiers doivent donc rembourser la totalité de la dette ou vendre leur maison pour être libérés de cette obligation. Cependant, il existe un moyen simple d’annuler votre assurance hypothécaire et d’être libre de toute dette: